Je ne sais pas quelles questions me poseront Frédéric et Marie, je ne sais pas. Il sera question d’enfance, d’écriture de l’enfance, j’imagine. Il sera aussi question de violence, d’écriture de la violence. Sans doute aussi d’amour, d’amour qu’on ne sait pas dire, ou pas faire ; d’amour des mots, c’est sûr aussi. Vous êtes les bienvenus.
Parmi ceux qui suivent Plumes d’Ailes il y en a que je n’ai jamais vus, d’autres que j’ai perdus de vue. Je vous suis reconnaissante à tous.
Il est certain que l’aventure plumes d’ailes m’en a donné(es) (des ailes), il est certain que sans les voix sonores et anonymes qui me disaient vas-y, n’aie pas peur, je n’aurais plus osé. Osé penser que j’étais écrivaine, oser croire que mon écriture valait d’être lue, entendue.
Je vous remercie tous et espère vous voir ce jour-là ou une autre fois, ma tendresse est une tendresse auvergnate, solide et perpétuelle, elle est aussi berbère, joyeuse et insouciante.
Dalie Farah