De l’amour et autres démons, une exposition troublante et énivrante
Le Maracuja est le résultat d’une aventure citoyenne et un peu hors norme : moderne, branché, culturel, naturel, le café prend le siècle du bon côté.
L’authenticité du lieu et la justesse de la démarche font que l’on se sent bien tout de suite. Il fait beau, il fait bon au Maracuja.
Les produits sont choisis, frais, les boissons aussi, l’exigence d’un service proche et chaleureux donne un côté un peu solaire à cette ambiance luso-brésilienne chic.
Les cafés sont des nectars dénichés dans des circuits de consommation respectueux de la nature et de l’homme.
Le plus, ce sont les événements récurrents qui font de ce lieu un espace créatif et festif.
Ces jours ci et jusqu’au premier avril, une exposition qui évoque sur le deux pans de murs les douleurs et les paradoxes de l’amour. Comme c’est bientôt la Saint Valentin, il faut absolument tout connaître des illusions et des déchirures de l’amour et aller fêter cela au Marcuja.
Il n’y a pas d’amour sans profondeur et sans absolu chez Garcia Marquez.
Le secret ?
Croire en l’amour comme enchantement, croire en l’amour comme possible renaissance est la manière de le vivre au mieux.
Dalie
« Un jour, elle lui demanda s’il était vrai, comme le disait les chansons, que l’amour pouvait tout. C’est vrai, lui répondit-il, mais tu ferais mieux de ne pas le croire. » Gabriel Garcia Marquez
Explorer l’oeuvre de Teresa Poester : http://www.teresapoester.com.br/
Explorer celle de Françoise Vallée : http://www.francoisevallee.com/
Explorer l’oeuvre de Fabienne Cinquin : http://fabienne.cinquin.free.fr/cv.shtml
A Gauche l’interprétation de la nouvelle de Garcia Marquez par Fabienne Cinquin, à droite, une travail à quatre mains, une interprétation sur le regard et la transparence de Françoise Vallée et Teresa Poester.
A contempler en dégustant les douceurs et plaisirs de Pauline et Aurélien. Bravo à Pauline pour l’organisation de l’événement.
Crédit Fabienne Cinquin
Petit moment musical improvisé au moment du vernissage.