Antoine Perraud et Faïza Zerouala Il ne faut pas se fier aux pseudonymes et à leur signification. L’écrivaine Dalie Farah a choisi d’accoler, au diminutif de son prénom Dalila, une épithète trompeuse, celui de « Farah », qui signifie « la joie » en arabe. Joyeuse et pétillante son écriture l’est. Indéniablement. Néanmoins, ce premier roman s’avère souvent douloureux … Lire la suite de Mediapart- « On se prend au jeu avec Dalie Farah, qui entend mettre en lumière les vies minuscules sans jamais cacher leurs faiblesses. Elle y parvient, avec délice et acuité. » 6.05.2019
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